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CENTRAFRIQUESUR7

RCA: FAUSTIN ARCHANGE TOUADERA OU UN PARCOURS EXEMPLAIRE POUR EN FINIR AVEC LA FATALITE CENTRAFRICAINE

15 Mai 2020 , Rédigé par Jean Stephane Publié dans #POLITIQUE

A l’approche des élections générales au terme de l'actuel quinquennat du Président Touadera, il y aura certainement ceux qui vont se mettre dans la posture de noircir le régime  de Touadera et de son gouvernement, alors que le peuple centrafricain a pour lui, reconnu que l’homme fort de Bangui a fait de son mieux pour remettre le pays sur ses deux pieds après des moments douloureux traversés.

Arrivée au pouvoir en 2015 le Président Faustin Archange Touadera  ne cesse de marquer des points en termes de prouesses.  Héritant en ce temps, d'un pays qui n’était que l’ombre de lui-même, un pays où tous les signaux étaient au rouge, un pays au bord du chaos. Faustin Archange Touadera a su se faire accepter par son peuple.

Les Centrafricains ont été dans le passé victimes des fausses promesses venant de la part des précédents hommes politiques, qui ne tenaient pas parole mais depuis son arrivée au pouvoir, le peuple a repris confiance car Touadera a toujours tenu parole et réaliser les promesses faites.

Nul besoin de démontrer que les quatre années et demi de gouvernance Touadera sont parsemées d’embûches tendus par les opposants politiques, néanmoins les aspects positifs triomphent toujours pour le bonheur de tous les Centrafricains.
Dès son accession au pouvoir, le président Touadéra a pris à bras le corps les problèmes qui minent le pays. Il s’est attaqué à la situation humanitaire dégradée entre temps, en faisant régner l’autorité de l’Etat et la sécurité sur presque toute l’étendue du territoire national en chutant à la cohésion sociale et le vivre-ensemble entre les communautés qui se regardaient en chien de faïence.
Pour relever totalement un pays qui a été détruit complètement, une diplomatie agissante a été engagée par le président Touadéra qui en passant, a mis à contribution, la coopération bilatérale et multilatérale, afin de permettre le développement économique du pays.

Et c’est aujourd'hui une réalité avec la Banque Mondiale, le Fonds monétaire international, la Banque africaine de développement, la Banque des Etats  de l’Afrique Centrale, l’Union Africaine, l’Union Européenne, l’Agence Française de Développement, le Fonds Saoudien et bien d’autres partenaires qui contribuent efficacement à l’œuvre du Président Touadéra.
L’opinion nationale et internationale sont unanimes à confirmer le décollage du pays vers un lendemain meilleur. Le problème de chômage tient au cœur du président Touadéra qui n'a pas hésité d'intégrer, par vague chaque fois que cela est possible,  les jeunes diplômés et procéder à d'autres recrutements dans la fonction publique. 

La construction et réhabilitation des infrastructures se font dans tous les sens en vue de donner un autre visage à l’administration et fournir un cadre de travail décent aux fonctionnaires de l’Etat.
Conscient de la situation du pays dont il a hérité, le Président Touadéra sait pertinemment que le développement d’un pays, surtout le nôtre qui sort d’une crise militaro-politique, doit passer nécessairement par les infrastructures routières, il a lancé plusieurs projets de réhabilitation des routes  qui sont bitumées et d’autres axes qui sont en voie de bitumage.

Soucieux du bien-être des fonctionnaires centrafricains, le Président Touadera a décidé de briser le cycle infernal d’arriérés des salaires en ordonnant le règlement d'arriérés de salaires des régimes déchus, conséquence des négociations "satisfaisantes" avec le Fonds monétaire international (FMI) tout en demandant au gouvernement d'y travailler au nom de la continuité de l'Etat afin de mobiliser les ressources conséquente.

Il faudrait noter que parmi les avancées notées par le FMI en RCA, figure notamment la stabilisation de la croissance économique. Tous ces exploits sous le magistère de Touadera sont la résultantes des efforts déployés par ses ministres dans ce contexte marqué par les défis sécuritaires et humanitaires.

Le moins que l'on puisse dire que ces réalisations durant son premier quinquennat ont été possibles grâce à la détermination de ses fidèles lieutenants, notamment le ministre du Plan et de la Coopération internationale Félix Moloua et celui des Finances Henri-Marie Dondra.

A noter que grâce à la conduite avec dextérité du RCPCA, le ministre Moloua a convaincu les partenaires que les nombreuses actions contenues dans ce plan seront exécutées avec succès. Ce plan de relèvement, fixé sur une période de cinq ans et centré sur les sujets tels que la sécurité, la réconciliation nationale, le redéploiement de l'État et la relance des secteurs productifs, vise à un retour normatif et à une paix durable en RCA.

Bien qu'étant souvent dure vis-à-vis du ministre des Finances sur la gestion de certains dossiers, nous pouvons affirmé sans sourciller que ce dernier a été un des meilleurs ministres des Finances   que la Centrafrique a connu.

Certes ! Il nous arrive de temps en temps d’injecter l’antidote du “bling bling” au Ministre Henri-Marie Dondra pour lui rappeler l’importance de la mission qui est la sienne mais ce n’est guère des jugements de valeur que nous lui faisons.  D'après les analyses, le défis à relever du Ministre des Finances est très clair et précis : Assainir les finances publiques, réduire les déficits publics, créer la croissance économique, imposer la rigueur budgétaire voire même l’austérité

Il faudrait savoir que durant ce premier quinquennat de Faustin Archange Touadera, le ministre des finances et du budget Henri-Marie Dondra s’est construit l’image d’un gestionnaire moderne, compétent, rigoureux et honnête. Il en a démontré les preuves à la tête de son département qui est le nerf de la République où il est en train de marquer son passage par des reformes profondes et courageuses.

Henri-Marie Dondra a fait un choix courageux en faveur de l’assainissement des finances publiques et la remise en ordre des circuits de production. Disant que l’argentier national a opté pour la rigueur et la transparence afin de rétablir la confiance depuis longtemps brisée entre le peuple centrafricain et ses dirigeants. Pour lui, l’assainissement des finances publiques est désormais une exigence permanente requise par l’obligation de compétitivité.

C’est ainsi qu’il a engagé rigoureusement des actions pour redresser les finances à savoir, l’amélioration du niveau des recettes, et la maîtrise des dépenses, sur la base de l’orientation fixée par le Président Faustin-Archange Touadera.

Au demeurant, le président Touadéra est porteur d’espoir dans ce pays dont l’histoire, comme celle de nombreux pays africains, n’a jusqu’à présent donné que peu d’occasions d’espérer. Touadéra est le premier président depuis des années à être arrivé au pouvoir à la suite d’un scrutin relativement honnête.

Que cela déplaise aux « hiboux aux yeux gluants », aux Centrafricains anti-Centrafricains et aux pessimistes aigris de tous bords, nous saluons tous les efforts du Président Touadera et lui disons à bientôt pour un second mandat dans la réussite.

 

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